20 Mar Le coworking intéresse les banques et assureurs
Ce mode de travail qu’est le coworking séduit de plus en plus de travailleurs, mais pas seulement. Les banques ainsi que les assureurs montrent également un intérêt croissant pour cette tendance au travail dans des espaces de coworking.
Des grosses pointures font leur entrée dans l’univers du coworking
Face à la forte expansion du concept du coworking, les banques et les assureurs souhaitent également utiliser son potentiel pour booster leurs points de vente et pour attirer plus de clients dans leurs agences. C’est ainsi que de grosses pointures comme Société Générale, LCL, les Banques Populaires et Groupama se proposent de mettre en location ponctuelle des bureaux de coworking dans leurs agences.
Le coworking by Société Générale et Groupama
Pas plus tard qu’à la fin de l’année 2016, Société Générale a adopté le concept du coworking banque dans une vingtaine de ses agences en Nouvelle-Aquitaine. D’après Jean-Yves Dupuy, le délégué général Grand Sud-ouest chez Société Générale : « Nos collaborateurs indiquent dans l’application mobile de Base 10, la liste des bureaux ou salles de réunion disponibles dans nos agences et immédiatement les utilisateurs de Base 10 peuvent y réserver un espace de travail à la demi-journée ».
Quant à Groupama Centre-Atlantique, une collaboration avec Base 10 a été mise en place dans 8 agences.
La Banque Populaire du Sud et LCL s’y mettent aussi
La Banque Populaire du Sud propose « Mon Bureau Pop », une application dédiée à la réservation de bureaux de coworking banque dans une vingtaine de ses agences. LCL propose également à Paris, des espaces de coworking au sein de siège historique.
Créer des liens et générer de nouvelles opportunités commerciales
L’objectif principal de ces grosses banques et assureurs est de « créer des liens et générer de nouvelles opportunités commerciales » en accueillant des acteurs économiques de tous les horizons. Selon Pierre Cordier, le directeur général de Groupama Centre-Atlantique, il s’agit également de mieux se « connecter avec la vie économique locale ».